Comment aurais-je pu imaginer pouvoir me trouver à quelques centimètres de ces deux êtres chers que je n’ai jamais pu rencontrer, mais dont je connais presque tout des détails de leurs vies.
dimanche 24 février 2008
dimanche 17 février 2008
lundi 11 février 2008
Un dimanche au bord de l'eau
Si je dis que Blois est la plus belle ville des bords de Loire, je suis sûr de ne pas être très loin de la vérité. Mais quand j’affirme que la Loire est le plus beau fleuve du Monde, alors là, je suis pratiquement certain de ne pas me tromper. Peut être le Colorado, dans sa traversée monstrueuse du Grand Canyon nous en fiche plein la vue. Peut être l’Amazone, majestueux serpent d’eau ondulant dans la forêt vierge, nous fascine-t-elle. Peut être le Danube, peut être le Nil, ou le Rhin….Non, franchement, pour moi, la Loire écrase tout. Au cours des siècles, elle a su se faire respecter, rester sauvage tout en ensorcelant le promeneur, donnant le sentiment de sécurité et de bien être le long de ses rives. Mais gare au bateaux crachant leurs nappes de fuel ou aux baigneurs imprudents qui souilleraient sa robe ou troubleraient son silence. Seuls les plus beaux châteaux, les plus belles cathédrales peuvent s’y refléter. Le blanc immaculé de la pierre de tuffeau et le bleu profond des ardoises angevines sont les couleurs favorites de son écrin.
Au programme de ce dimanche, une petite bouffe dans un resto blésois au bord de l’eau avec Alain et Micheline. Une grande discussion inventaire de tout ce qui nous touche en ce moment ; des choses d’amour, d’amitiés, de passions ; commencée au resto et continuée au bord de l’eau.
Au programme de ce dimanche, une petite bouffe dans un resto blésois au bord de l’eau avec Alain et Micheline. Une grande discussion inventaire de tout ce qui nous touche en ce moment ; des choses d’amour, d’amitiés, de passions ; commencée au resto et continuée au bord de l’eau.
Regardez cette photo : la Loire c’est nous, tantôt haute, tantôt basse, jamais prévisible.
Derrière nous notre histoire, la source, les expériences passées mais le fleuve qui avance.
Devant nous, le chemin à venir, l’inconnu de l’horizon, les îlots que nous rencontrerons, que nous aborderons, où nous nous échouerons.
Devant nous ce ciel de crépuscule, aux couleurs si douces, appelant à la fois la mélancolie, mais aussi la douceur de vivre, l’apaisement et la paix de l’âme.
Et puis ces quatre flèches transperçant la quiétude.
Des avions à prendre…ou à regarder passer.
Des histoires à vivre…ou à éviter.
Des passions où s’engouffrer…ou à laisser passer.
Et vous, ça vous fait quoi ?
Derrière nous notre histoire, la source, les expériences passées mais le fleuve qui avance.
Devant nous, le chemin à venir, l’inconnu de l’horizon, les îlots que nous rencontrerons, que nous aborderons, où nous nous échouerons.
Devant nous ce ciel de crépuscule, aux couleurs si douces, appelant à la fois la mélancolie, mais aussi la douceur de vivre, l’apaisement et la paix de l’âme.
Et puis ces quatre flèches transperçant la quiétude.
Des avions à prendre…ou à regarder passer.
Des histoires à vivre…ou à éviter.
Des passions où s’engouffrer…ou à laisser passer.
Et vous, ça vous fait quoi ?
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