Que nos cœurs solitaires
Soient au bout de leur peine
Que le monde soit lumière
Et plus doux sous nos pas
Il est entré sur scène pour nous faire partager, avec ses deux acolytes, quelques moments d’éternité. Chaque tournée est un nouveau voyage, un nouveau concept, une nouvelle vision. Toujours en recherche d’un Eldorado musical qui n’existe pas, d’une nouvelle voie. Cette fois-ci, on s’imagine partir pour un voyage tranquille : Stéphan Eicher Trio. Mais par le miracle des boucles électroniques, l’orchestre se démultiplie, tout comme les ombres portées des musiciens sur le rideau blanc tendu derrière eux. La musique oscille entre un folk bavarois en pleine mutation rock et un jazz rugueux et menaçant. Les chansons se succèdent - les nouvelles et les bons vieux tubes - toutes transfigurées pour coller au spectacle qui se joue sous nos yeux. Deux heures de rêve dans une contrée inconnue, ponctuées de quelques commentaires furtifs du chanteur se fondant dans sa musique. Puis un retour sur terre qu’on voudrait éviter ; tout dans le calme et la béatitude, la banane aux lèvres. C’était beau, c’était bon.
Mais garde-moi
Dans ta mémoire
Laisse moi entrer sur ton si blanc territoire
Seul dans les rues
Je marcherai
Seul dans un lit
Je m’endormirai
A l’occasion
Je contemplerai
L’or des saisons, le cœur noir des forêts.
Soient au bout de leur peine
Que le monde soit lumière
Et plus doux sous nos pas
Il est entré sur scène pour nous faire partager, avec ses deux acolytes, quelques moments d’éternité. Chaque tournée est un nouveau voyage, un nouveau concept, une nouvelle vision. Toujours en recherche d’un Eldorado musical qui n’existe pas, d’une nouvelle voie. Cette fois-ci, on s’imagine partir pour un voyage tranquille : Stéphan Eicher Trio. Mais par le miracle des boucles électroniques, l’orchestre se démultiplie, tout comme les ombres portées des musiciens sur le rideau blanc tendu derrière eux. La musique oscille entre un folk bavarois en pleine mutation rock et un jazz rugueux et menaçant. Les chansons se succèdent - les nouvelles et les bons vieux tubes - toutes transfigurées pour coller au spectacle qui se joue sous nos yeux. Deux heures de rêve dans une contrée inconnue, ponctuées de quelques commentaires furtifs du chanteur se fondant dans sa musique. Puis un retour sur terre qu’on voudrait éviter ; tout dans le calme et la béatitude, la banane aux lèvres. C’était beau, c’était bon.
Mais garde-moi
Dans ta mémoire
Laisse moi entrer sur ton si blanc territoire
Seul dans les rues
Je marcherai
Seul dans un lit
Je m’endormirai
A l’occasion
Je contemplerai
L’or des saisons, le cœur noir des forêts.
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