L’année va passer et tu n’es pas là, c’est long
Tout ce temps sans nouvelles de toi ; c’est con.
Tu peux pas nous laisser sans lumière,
Sur le quai de ta vie, dans un container.
Une parenthèse ouverte, un jour, pour oublier,
Ne vaut qu’en étant, un jour, refermée.
Ta vie a basculé vers d’autres horizons, c’est sûr
On n’a pas mérité de n’en pas faire partie ; c’est dur.
Tu peux pas enfouir comme ça, six pieds sous terre,
Des souvenirs aussi forts que nos vieilles artères.
Une parenthèse ouverte, un jour, pour oublier,
Ne vaut qu’en étant, un jour, refermée.
J’espère toujours qu’un soir ça sonne, à la barrière
Que reprenne le cours de nos vies parallèles, comme hier.
Le skipper solitaire, loin de ses amarres
Voit toujours réconfort dans la lumière d’un phare.
Une parenthèse ouverte, un jour, pour oublier,
Ne vaut qu’en étant, un jour, refermée.
(avec l'appui musical de Jean Louis Aubert - Roc Eclair)
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